DE LA SUÈDE AU CANADA
Camille Piot
Pourquoi as-tu choisi Behaviour Interactif ?
Behaviour nous a contactés, mon conjoint et moi. J’ai été convaincue par les échanges avec les recruteurs et les différents producteurs que j’ai rencontré lors des entretiens. J’ai également eu la chance de discuter avec un ancien de Behaviour, installé à Stockholm, qui m’a dit le plus grand bien de la compagnie (et du bEstro!).
Décris-nous l’accompagnement de Behaviour à travers ta relocalisation au Canada ?
L’équipe immigration a été la clé de ma relocalisation. Ils ont répondu à toutes nos questions, des plus évidentes aux plus complexes. J’ai vraiment apprécié leur implication, que ce soit dès la signature du contrat, à quelques jours du départ et à notre arrivée. On se sent vraiment choyés !
Qu’est-ce qui t’a facilité la vie lors de ton processus de relocalisation ?
Encore une fois, l’équipe immigration. Elle a rendu le processus de relocalisation plus facile et moins stressant. Avant notre arrivée elle a organisé une réunion virtuelle avec une (future) collègue de Behaviour qui avait également déménagé de Stockholm. Ça nous a permis d’anticiper les tâches administratives et ça nous a vraiment confortés !
L’équipe était toujours super réactive, on a même pu les appeler pour régler des questions administratives à notre arrivée à l’aéroport. Et on a adoré les petites attentions laissées à notre arrivée au logement !
Qu’est-ce qui t’a séduit lors de ton arrivée au Canada ?
Les bons petits restaurants de cuisines du monde entier, les gens et l’ambiance chill de la ville de Montréal, l’accès à plusieurs grands espaces verts à deux pas.
Et retrouver nos amis, déjà sur place depuis quelque temps, a été magique !
Quels défis as-tu rencontrés lors de ton arrivée au Canada ?
La recherche de logement a été un peu longue, le marché de l’immobilier étant assez calme en mars à Montréal. On a finalement trouvé notre chez nous dans lequel on vient de s’installer.
À long terme, un des plus gros défis sera d’affronter l’hiver! Et plus sérieusement, la distance avec la famille et les amis va aussi être un nouveau challenge, d’autant plus avec le décalage horaire. Mais j’espère pouvoir les accueillir prochainement à Montréal!
As-tu amené un animal de compagnie avec toi ? Comment cela s’est-il passé ?
On a fait voyager nos deux chats qui sont maintenant de vrais globe-trotters. Tout s’est bien déroulé, ils n’ont pas dit un mot du voyage, malgré le stress évident. Le personnel dans l’avion et à la douane a été très accommodant!
Au niveau administratif, l’équipe immigration nous a fait échanger avec un (futur) collègue de Behaviour qui était arrivée récemment d’Europe avec ses chats. Ça nous a permis d’anticiper le processus et de ne rien oublier.
As-tu des conseils à donner à ceux·celles qui veulent faire le saut de travailler à l’étranger ?
C’est ma deuxième expérience à l’étranger en 5 ans et mon conseil est le suivant : faites-le ! Travailler et vivre à l’étranger peut vous apporter beaucoup, aussi bien au niveau professionnel que personnel (capacités d’adaptation, ouverture d’esprit, flexibilité…). Le plus difficile, c’est de sauter le pas et de sortir de sa zone de confort, mais le jeu en vaut la chandelle.
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