DE LA FRANCE AU CANADA
François Bogaert
Pourquoi as-tu choisi Behaviour?
Ma première motivation, c’était de partir au Canada parce que Montréal est une ville avec un marché du jeu vidéo qui est super développé. Après coup, Behaviour avait une super bonne réputation et les gens qui y travaillaient avaient l’air heureux! Ça fait 1 an que je travaille ici et je ne regrette rien.
D’où viens-tu en France?
Je viens de la région Parisienne, donc un peu le Laval de Paris, hahah! Avant de partir pour le Québec, j’ai travaillé pendant 6 ans dans une boîte de jeux vidéo.
Parle-nous un peu de l’accompagnement que tu as reçu de Behaviour.
Il a été absolument parfait! C’est d’ailleurs l’une des raisons pour laquelle j’encourage vraiment les gens à ne pas avoir peur de partir à l’étranger. J’ai trouvé que l’accompagnement facilitait tellement les choses que ce n’était pas du tout un obstacle de venir travailler ici.
Pour moi, c’est vraiment la logistique qui me faisait peur, comme faire la paperasse pour le permis de travail, les visas, etc., mais Behaviour a tout fait pour moi! On a même 4 semaines d’ Airbnb payé par le studio une fois qu’on arrive. Ça m’a permis de trouver un appartement adorable. L’équipe a vraiment effectué un énorme travail en arrière-scène.
Comment s’est passé ton déménagement?
Très bien! Behaviour récupère nos cartons et nous les achemine en plus de proposer le remboursement.
Qu’est-ce qui t’as séduit à ton arrivée au Québec?
J’ai une drôle de contradiction en moi. J’adore la vie urbaine et Montréal qui est une ville très vivante et culturellement riche.
Mais j’ai aussi besoin d’être en contact avec la nature. Alors le fait de prendre le volant et d’être au milieu de paysages magnifiques en moins d’une heure, c’est vraiment génial.
As-tu trouvé facile de te refaire un cercle social ici?
Je croyais que ce serait probablement un défi, mais ce qui m’a beaucoup rassuré, c’est qu’on travaille dans une boîte où c’est très facile de connecter avec les gens. C’est super simple de trouver quelqu’un qui a les mêmes intérêts que toi, que ce soit les jeux vidéo ou la culture pop. Il y a aussi souvent des évènements d’organisés, comme des 5 à 7 ou des soirées de jeux de société. Tant qu’on est ouvert, ce n’est vraiment pas difficile de rencontrer des gens, que ce soit au travail ou à l’extérieur.
As-tu des conseils à donner aux gens qui hésitent à faire le saut?
À mes yeux, il n’y a pas d’hésitation à avoir. De un, on est mieux payé ici! Et de deux, pour ceux qui pensent qu’on sera déraciné en venant ici, ce n’est pas le cas. C’est rafraichissant et différent. En fait, c’est juste excitant!
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